Pour accompagner le retour du printemps, voici quelques nouveautés disponibles dans votre médiathèque préférée 😉.

Bonne lecture à tous !

******

Vivre vite de GIRAUD Brigitte

En un récit tendu qui agit comme un véritable compte à rebours, Brigitte Giraud tente de comprendre ce qui a conduit à l’accident de moto qui a coûté la vie à son mari le 22 juin 1999. Vingt ans après, elle fait pour ainsi dire le tour du propriétaire et sonde une dernière fois les questions restées sans réponse. Hasard, destin, coïncidences ? Elle revient sur ces journées qui s’étaient emballées en une suite de dérèglements imprévisibles jusqu’à produire l’inéluctable. À ce point électrisé par la perspective du déménagement, à ce point pressé de commencer les travaux de rénovation, le couple en avait oublié que vivre était dangereux. Brigitte Giraud mène l’enquête et met en scène la vie de Claude, et la leur, miraculeusement ranimées.

Asphyxie de McCULLOCH Amy

Il y a un tueur dans la montagne. Vous êtes sa prochaine cible.
Une légende vivante de l’alpinisme.
Une journaliste prête à tout pour l’interviewer.
L’ombre d’un tueur.
Un ultime sommet à gravir.

La constance du prédateur de CHATTAM Maxime

Ils l’ont surnommé Charon, le passeur des morts. De son mode opératoire, on ignore tout, sauf sa signature, singulière : une tête d’oiseau. Il n’a jamais été arrêté, jamais identifié, malgré le nombre considérable de victimes qu’il a laissées derrière lui. Jusqu’à ce que ses crimes resurgissent du passé, dans les profondeurs d’une mine abandonnée…Plongez avec Ludivine Vancker dans le Département des Sciences du Comportement, les profilers, jusque dans l’âme d’un monstre.

Cher connard de DESPENTES Virginie

Roman épistolaire entre Rebecca, une
actrice quinquagénaire séduisante, Oscar,
un écrivain trentenaire peu connu victime
du syndrome de la page blanche et Zoé,
une jeune féministe accro aux réseaux
sociaux. Ces trois individus à la
personnalité abrupte, tourmentés par leurs
angoisses, leurs névroses et leurs
addictions, sont amenés à baisser les
armes quand l’amitié leur tombe dessus.

La petite menteuse de ROBERT-DIARD
Pascale

A 15 ans, Alice inquiète ses proches en
raison de son humeur sombre. Elle avoue
avoir été abusée plusieurs fois. Les
soupçons se portent sur Marco, un ouvrier
instable. Il est condamné à dix ans de
prison. Devenue majeure, Lisa contacte
Alice, une avocate, pour le procès en
appel. Cette dernière accepte de la
défendre en dépit de ses mensonges.

Sa préférée de JOLLIEN-FARDEL Sarah

Dans un village des montagnes valaisannes,
Jeanne grandit en apprenant à éviter et à
anticiper la violence de son père. Sa mère et
sa sœur aînée semblent résignées tandis que
les proches se taisent. Après le suicide de sa
sœur, Jeanne, devenue institutrice, s’installe à
Lausanne. Peu à peu, elle se construit, s’ouvre
aux autres et s’autorise à tomber amoureuse.

L’archipel des oubliés de BEUGLET
Nicolas

Les inspectrices Grace Campbell et
Sarah Geringën le savent. Malgré
leurs caractères opposés, elles
doivent unir leurs forces pour
neutraliser l’« homme sans visage »,
l’architecte du plan diabolique qui
mènera l’humanité à sa perte. Seule
piste : un manoir égaré dans les
brumes d’Écosse. Derrière les volets
clos de la demeure, l’ombre d’une
jeune veuve austère Mais cette
femme est-elle vraiment ce qu’elle
prétend être?

Blanc de TESSON Sylvain

Avec mon ami le guide de haute
montagne Daniel du Lac, je suis parti
de Menton au bord de la Méditerranée
pour traverser les Alpes à ski, jusqu’à
Trieste, en passant par l’Italie, la
Suisse, l’Autriche et la Slovénie. De
2018 à 2021, à la fin de l’hiver, nous
nous élevions dans la neige. Le ciel
était vierge, le monde sans contours,
seul l’effort décomptait les jours. Je
croyais m’aventurer dans la beauté, je
me diluais dans une substance. Dans
le Blanc tout s’annule – espoirs et
regrets. Pourquoi ai-je tant aimé errer
dans la pureté ?

Que reviennent ceux qui sont loin de ADRIAN
Pierre

«Là, sur la route de la mer, après le portail
blanc, dissimulées derrière les haies de
troènes, les tilleuls et les hortensias, se
trouvaient les vacances en Bretagne. Août
était le mois qui ressemblait le plus à la
vie.» Après de longues années d’absence,
un jeune homme retourne dans la grande
maison familiale. Dans ce décor de
toujours, au contact d’un petit cousin qui
lui ressemble, entre les après-midi à la
plage et les fêtes sur le port, il mesure
avec mélancolie le temps qui a passé.
Chronique d’un été en pente douce qui
commence dans la belle lumière d’août
pour finir dans l’obscurité, ce roman
évoque avec beaucoup de délicatesse la
bascule de l’enfance à l’âge adulte.

Catégories : Médiathèque